Si depuis mon arrivée à Sète je me régale des spécialités locales et des restaurants méditerranéens, et si je me sens chez moi dans cette ville qui place le manger en haut de la liste des priorités culturelles, il faut bien admettre que certaines cuisines me manquent. C’est le cas de mon âme sœur culinaire, la cuisine japonaise, quasi-absente de l’île singulière, et si peu représentée dans la région…
Alors, de passage à Paris, mes pieds avancent tout seuls, et j’abdique comme un somnambule pour me retrouver devant Issé Izakaya, afin de prendre une bouffée d’air nippon.